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mardi 7 janvier 2025

 


Chers amis, soyez les bienvenus sur ce blog, surlequel je publierai dorénavant mes articles.

Aujourd'hui ma réflexion du jour a été motivé par le fait que trop souvent, nous ne mesurons pas l'ampleur de nos propos, de nos pensées ou de nos attitudes. En tout cas c'est ce que je constate à mon propre niveau.

Pourtant je ne pourrais pas dire que je manque de conscience. C'est ainsi que j'ai fini par me rendre compte, que trop souvent malgré mes ressentis très précis sur l'autre personne en face de moi, j'avais tout de même tendance à vouloir croire que cette autre personne serait en mesure de comprendre les choses de la même façon dont je les comprends. Ou encore d'agir avec cette même facilité avec laquelle je vais jongler avec les concepts.

Pire, j'étais je crois bien, très souvent attentif au bien-être de l'autre, peu importe qui il était, mais seulement tant que cet autre était admis dans mon monde. Je veux dire par là qu'à partir de l'instant où je décidais que l'autre n'était plus admissible dans mon monde, je devenais incapacable de poursuivre cette même attention à son égard.

Peut-être pourriez-vous croire que cela est normal, sauf qu'en vérité je ne crois pas que cela soit normal, et je dirais même que cela nuit au bons rapports d'une manière générale.


Quelque part je crois que nous sommes nombreux à avoir ce même fonctionnement, même si nous ne l'appelons pas tous ainsi, ou que nous le décrivons différemment. C'est un peu comme si en nous, se trouvait une sorte d'interrupteur, selon que l'autre va dans notre sens, le commutateur est en position "on", mais dès que l'autre commence à aller dans un sens qui nous arrange moins, notre commutateur passe très vite sur "off", et cela marque généralement la fin prochaine de la relation.


Sauf qu'en vérité, s'il y a eu de vrais sentiments entre deux personnes, même inavoués, ce n'est pas cet interrupteur qui va permettre d'aller vers sa vérité.

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